Dimanche soir à 20 heures dans l’Olympiastadion de Berlin, 22 visages s’afficheront aux yeux du monde. Parmi eux d’heureuses surprises, d’infatigables travailleurs de l’ombre, des stars au firmament mais aussi des joueurs pour qui cette ultime rencontre d’Allemagne 2006 reste la dernière occasion de briller après un tournoi en mode mineur.
Les surprises
Franck Ribery
LA révélation française et l’une du tournoi. Sélectionné pour la première fois en équipe de France face au Mexique le 27 mai 2006, le Marseillais a affolé les défenses adverses et son entente avec son idole, Zinédine Zidane, a donné lieu à des phases de jeu enivrantes.
Eric Abidal
La sobriété au service de l’efficacité. Il n’hésite pas à remonter son couloir gauche et compose sans doute avec Lilian Thuram, William Gallas et Willy Sagnol le quatuor défensif le plus impressionnant de la compétition.
Fabio Grosso
Bénéficiant de la retraite de Paolo Maldini et des blessures à répétition de Francesco Coco, il s’est rapidement imposé comme le meilleur défenseur italien sur l’aile gauche. Après une bonne saison à Palerme, il a marqué la Coupe du Monde de la FIFA à deux reprises : le penalty obtenu à la dernière minute contre l’Australie et son but face à l’Allemagne.
Simone Perrotta
Rapide et plus offensif que son poste sur l’aile gauche ne le laisse supposer, l’un des protégés de Marcello Lippi surprend par son explosivité.
Les joueurs de l’ombre
Claude Makélélé
La rampe de lancement de Zidane a posé sa toile d’araignée sur le milieu de terrain. Tous les ballons passent par celui qui couvre sa surface de jeu à la perfection.
William Gallas
Le Londonien, à l’instar de son compère à Chelsea, forme un autre duo implacable avec Lilian Thuram en défense centrale. L’aboyeur de l’équipe de France connaît depuis son départ de Marseille une progression exponentielle, à l’instar de Willy Sagnol, l’un des nouveaux porte-parole des Bleus.
Gennaro Gattuso
Attaché au short de ses adversaires du coup d’envoi à la fin du match, le chien de garde de la Squadra azzurra ne lâche rien et ne rechigne pas à la tâche malgré son petit gabarit. Le prototype même du joueur indispensable.
Les stars
Zinédine Zidane
Transparent malgré une volonté affichée lors du premier tour, il a décidé de jouer à partir des huitièmes de finale. L’Espagne et le Brésil en ont encore des courbatures.
Patrick Vieira
Celui qui a provoqué le déclic en ouvrant le score contre le Togo a affiché sur deux matches (l’Espagne ensuite) deux buts et deux passes décisives. La pieuvre refait surface.
Lilian Thuram
Le Bianconero aurait pu être l’assistant idéal de Vauban tant la défense française, à son image, semble être une forteresse imprenable. Il maîtrise aujourd’hui à la perfection son rôle - en atteste sa performance face au Portugal - malgré une faute de jeunesse contre la Furia roja.
Fabio Cannavaro
Celui qui fêtera – sauf blessure de dernière minute – sa 100ème sélection lors de la finale est un exemple de courage, d’abnégation et de professionnalisme. Le pendant de Thuram pour un match dans le match.
Gianluca Zambrotta
Il cumule les postes de défenseur et d’attaquant et est dote d’une vitesse de pointe énorme. Il a marqué un but important contre l’Ukraine et trouvé la barre transversale allemande sur une frappe surpuissante.
Les joueurs de l’ombre
Claude Makélélé
La rampe de lancement de Zidane a posé sa toile d’araignée sur le milieu de terrain. Tous les ballons passent par celui qui couvre sa surface de jeu à la perfection.
William Gallas
Le Londonien, à l’instar de son compère à Chelsea, forme un autre duo implacable avec Lilian Thuram en défense centrale. L’aboyeur de l’équipe de France connaît depuis son départ de Marseille une progression exponentielle, à l’instar de Willy Sagnol, l’un des nouveaux porte-parole des Bleus.
Gennaro Gattuso
Attaché au short de ses adversaires du coup d’envoi à la fin du match, le chien de garde de la Squadra azzurra ne lâche rien et ne rechigne pas à la tâche malgré son petit gabarit. Le prototype même du joueur indispensable.
Les stars
Zinédine Zidane
Transparent malgré une volonté affichée lors du premier tour, il a décidé de jouer à partir des huitièmes de finale. L’Espagne et le Brésil en ont encore des courbatures.
Patrick Vieira
Celui qui a provoqué le déclic en ouvrant le score contre le Togo a affiché sur deux matches (l’Espagne ensuite) deux buts et deux passes décisives. La pieuvre refait surface.
Lilian Thuram
Le Bianconero aurait pu être l’assistant idéal de Vauban tant la défense française, à son image, semble être une forteresse imprenable. Il maîtrise aujourd’hui à la perfection son rôle - en atteste sa performance face au Portugal - malgré une faute de jeunesse contre la Furia roja.
Fabio Cannavaro
Celui qui fêtera – sauf blessure de dernière minute – sa 100ème sélection lors de la finale est un exemple de courage, d’abnégation et de professionnalisme. Le pendant de Thuram pour un match dans le match.
Gianluca Zambrotta
Il cumule les postes de défenseur et d’attaquant et est dote d’une vitesse de pointe énorme. Il a marqué un but important contre l’Ukraine et trouvé la barre transversale allemande sur une frappe surpuissante.
Peux mieux faire
Thierry Henry
Malgré trois buts il reste encore la grosse déception de l’équipe. La faute a un fossé entre ses prestations londoniennes et nationales. Déjà meilleur buteur de l’histoire d’Arsenal et 2ème buteur de l’histoire des Bleus, qu’à-t-il encore à prouver ?
Francesco Totti
Joueur de club de renommée mondiale, il accuse un rendement national bien moindre que sa blessure à la cheville n’améliore pas. Mais il s’améliore de match en match et la finale arrive à point nommé. Idem pour Alessandro Del Piero.
par FIFAworldcup.com
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